• continuations

    Qu'est-ce que tu veux à la fin?Ecoute maman...Il va vraiment faloir que tu arrêtes de m'interrompre comme ça. Tu sais pourtant que j'ai HORREUR d'être interrompu...Et si tu continues, tu sais ce qui t'attend...Je vais encore me mettre en colère...Et on sait tous els deux que tu n'aimes pas quand je suis en colère, n'est-ce pas?
    La voilà qui pleure maintenant...
    Arrêtes de chialer!ARRETES DE CHIALER TU ENTENDS?Voila, c'est mieux!tu vois quand tu veux?
    Je commence à avoir faim. Déjà trois jours que je n'ai pas mangé.Ce n'était pas volontaire, j'ai oublié, c'est tout. Je dois bien avouer que je suis quelqu'un de très occupé. je ne sais juste pas à quoi.
    Attention Maman...Ne va pas trop loin...Ma patience a des limites...Je t'ai dit de la fermer alors ta gueule, JE parle!
    Peut être n'était-ce pas une bonne idée de ne pa sprendre mon Tranxene. Dommage qu'il soit trop tard maintenant.Peut être aurais-je du répondre tout à l'heure.Et si quelqu'un avait réelement sonné à ma porte?
    Un mystère de plus.
    J'entends sa voix, à lui. Faisant écho à celle de ma mère.Il chante "One". Il me nargue. Ils me narguent tous de toutes manières. Si j'en avais la force, je me mettrais en colère. Envie de tout casser. Et puis de me mutiler. Pour me soulager. Mais je n'ai pas envie de bouger alors je vais rester assis là, par terre. C'est mon anticonformisme. Et tant mieux s'il n'y a personne pour l'apprécier. je suis très bien tout seul.
    Non!N'éteignez pas!je vous l'ai dit, j'ai peur du noir et je ne veux pas dormir!
    "Va et ne te retrourne point". Même pas besoin de el dire, personne ne se retournera. et puis cette phrase, elle n'est même pas de moi.
    Je zappe. Je n'en peux plus. La fille dans le poste me fixait en me souriant. Elle me vomissait son inintéressante existence. je ne peux même pas l'aider. Son pathétisme est douloureux. Je préfère avoir une discussion avec Navarro, plus terre à terre, sur la Une.
    Et puis non. Alorsj'éteins parce que je me demande bien l'image que je donne de moi. pas celle du sauveur qu'ils voudraient que je sois.  A dire vrai, je m'en contrefous.
    Qu'ils pensent ce qu'ils veulent.
    Je me sens sale. J'ai trop fumé, trop peu mangé.
    De cette crasse qui nous use et nous dévore. Pas de celle qu'on lave, non, ce serait trop facile.

    Avina


  • Commentaires

    1
    Maylina
    Dimanche 24 Octobre 2004 à 11:37
    (c'est quoi un sujet ? ^^" lol)
    toujours aussi intéressant :), je suis de nouveau impatiente de lire la suite ...
    2
    fang
    Lundi 1er Novembre 2004 à 21:51
    --
    encore
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