• And?

                                         

    Aimer les gens comme ils sont.
    Oublier de croire, et surtout d'espérer.
    Il fait si noir ce soir que je m'entend respirer.
    Il suffit d'un rien, d'un mot, peut être d'un souffle pour que tout s'envole.
    Des yeux marrons se sont ouverts.
    Les miens sont verts.
    Plus de controle. reste t-il des échappatoires?
    Qui es-tu toi, qui sans cesse me nargue?
    un reflet de toi même.
    Et c'est bien ce qui m'inquiète.
    Laissez moi être libre, je vous en pries.
    Offrez moi la chance de me constuire, et qui sait, peut être de m'aimer.
    Le pale sourire, l'étrange lueure.
    Laisse moi trouver le temps.
    Des yeux marrons se sont fermés.
    Les miens se sont ternis.
    Le paroxysme de l'amour est la mort.
    Mais il n'y a pas de paroxysme à la mort.
    Ecoute moi mon Ange, laisse moi t'appriovoiser.
    Peut être te rejoindre, ailleurs.
    Joyeux annviersaire Gabriel.
    Je suis un peu en retard...
    Ouvre tes yeux rieurs,
    esquisse ton sourire charmeur, et je comprendrais.
    Ce n'est qu'un rêve.
    Glisser.
    Se manquer.
    Finir par se retrouver.
    Cette imperfection imperceptible, le malaise.
    La tete dans les mains, ou peut être est-ce l'inverse.
    Pleurer. Et puis rire.
    Oublier.
    Une mélodie, peut être pas la bonne.
    Des draps humides.
    Un silence si difficile à combler.
    La mélodie pourtant, mais toujours pas la bonne.
    Ne m'oublies pas.
    Sentir une main le long de mon corps.
    Peut être la bonne.
    Même si ce n'est pas la tienne Gabriel.
    Les frissons ne s'oublient pas.
    Jamais.
    Ils ne sont jamais les mêmes.

    Avina

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